[CLAN] Presentation des Pariah rp

Des hommes sans principes, honneurs, pitié, furent par la justice de leur pays proposé aux galèrent, seul endroit ou leur société respectives accepté de les voir continuez a respirer. Ces hommes représentez le déclin et la mort de civilisation prospèrent et grandiose, enclin au larcin au viol et au meurtre ils s’accrocher au pagaie géantes de bois dans les vaisseaux de fer qui les faisait voguer à travers les flots froid et humides des continents de marchands. L’asservissement de ces pauvres âmes rendez d’autant plus dangereux les mutineries et poussé leur maitres de fortune a une violence inconsidéré quitte a ôter la vie de certains pour un simple regard de défiance. Un homme parmi l’équipage d’esclave appelé Tonga maw grâce a une ingéniosité défiant la normal organisa une mutinerie qui plongea le bateau dans une violence que même les maitres ne pouvait imaginer, le sang coula de la vengeance et de l’horreur, suite au carnage des hommes fidèles au meneur choisie par celui-ci mirent cap vers une terre, cette terre était un royaume ou la souffrance que ces hommes avait connu leur permettrait peut-être de vivre enfin en homme

Je m’appelle Hélric et puisque tu viens d’arriver dans le clan des Pariah je me dois de t’expliquer qui est notre chef alors pose un cul à côté du feu et écoute mon gars car peut être que je vais te sauver la vie en faisant ça. Parfois l’humanité est plus rare chez certains, et l’on peut sans démesure aucune dire que Donga maw est le genre à n’en présenté aucune, s’il fallait décrire sa personnalité il faudrait présenter d’abord les méfaits de l’homme, voleur manipulateur et scélérat sans principe aucun, les arnaques et larcins de l’homme se détache par leur violence sans but aucun que l’amusement de voir ce dessiner les pires douleurs sur le visage de ses victimes. Il dirige le clan des Pariah, bien sûr au vu de ses hommes et de leur nature ils les dirigent uniquement grâce à la violence et la crainte permanente de ce voir égorgez dans la nuit ou au diner. La peur qu’invoque l’homme auprès de ses congénères font de lui le pire scélérat de la région et une plaie de plus pour les populations environnante. Je rencontrai un vieillard dans une prison pour meurtrier qui me raconta divers histoires sur notre chef bien avant de le rencontrez sur la galère hurle vent celle avec laquelle nous nous sommes échouez sur cette terre maudite et il me dit ceci en fin mot de son histoire : Soit tu croise Donga sans crainte soit tu t’empale toi-même sur une pique dans les deux cas tu n’aimes pas ta vie.